Gazouillis de Pâques
C'est le printemps, les oiseaux gazouillent et pépient, y'a d'la joie partout !
Ca, c'était hier, et aujourd'hui, ça continue, en plus fort.
Noël au balcon, Pâques aux tisons qu'ils disaient. Eh bien c'est gagné.
Donc le Sun ray, avec un nom comme ça, il ne pouvait que retourner en pelote.
Surtout qu'il était jaune...
De toute façon, le montage ne me plaisait pas, le point a une coquille dans le dessin et le point dentelle en lui-même est quelconque. Ce qui me plaît dans ce châle, c'est sa finition, les pointes du bord. Je les ferai avec un autre point dentelle. Plus tard.
Pour le moment, occupons-nous de Pâques et de ses oeufs.
Parce que les oeufs, ça donne des poussins.
Quels que que soient les oeufs.
De poule ou de canard.
D'ailleurs, vous savez, vous, pourquoi on ne mange pas de poulet à Pâques alors qu'il y a plein d'oeufs ?
Pour épargner la sensibilité des survivants, en surnombre. Imaginez un peu !
Alors on mange du gigot. Qu'on va chercher en Nouvelle Zélande. Pour que nos poules, au lieu d'être mangées, tricotent, de même que nos moutons, qui restent dans les champs.
Et c'est uniquement pour ça, à cause de Pâques et du tricot, que l'économie rurale ne va pas fort en France !
Mais revenons à nos moutons poussins...
Grâce à Viou, j'ai découvert des petits pioupious de Pâques adorables. Allez les voir, ça donne vraiment envie d'en faire. Bon, moi, je m'y suis pris trop tard, par contre, j'ai eu l'autorisation de Kathy, leur créatrice, de traduire son patron et de le diffuser pour notre plus grand bonheur. Vous trouverez les explications des "Easter peeps" (littéralement "pépiements de Pâques" en français ici.
Et comme la neige m'inspire, j'ai démarré et quasiment terminé un February baby sweater d'E. Zimmermann (in Knitter's almanac) :
Ce modèle me plaît davantage que le Baby sweater jacket. Je sens que je vais pouvoir le décliner de façon variée.
Pendant ce temps, il y en a un qui fait la tronche (pour changer) : la neige, il aime pas, et en plus, il n'a pas eu d'oeufs !
Allez, Joyeuses Pâques quand-même !
A bientôt, vale,
Christine